| A l'origine de la troupe : un enfant passionné ! | |
| Son parcours : Jean Louis a commencé très tôt sa vie de cavalier «Mon grand-père avait un cheval de trait et dès l’age de 10 ans je montais dessus. De 10 à 17 ans, j’ai appris à monter à cheval dans des centres équestres tout à fait classiques». |  |
| C’est Charles Henry TEZENAS, qui l’a initié à la voltige. Il participe ensuite au spectacle de la mer de sable en Picardie, sous les directives de Georges BRANCHES pour deux saisons (spectacle cosaque, attaque de train, cascades, cow-boys). Ensuite c’est le Moulin rouge puis le Lido. Il s’expatrie le temps d’une saison en Allemagne à Europa Parc, pour une saison de combat à la rapière et de cascades à cheval. Un des moments important de sa vie est le travail effectué en compagnie de Charly ANDRIEUX pour encore une saison en spectacle itinérant. |  |
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Il part sur le tournage de «Tuer n’est pas jouer», un James BOND, où il participe au dressage des chevaux, en compagnie d’Alain DEZAVELLE. |  |
| En 1988, Jean-Louis crée la troupe Caracole, nom porté par son cheval fétiche.
"C'est alors le vrai départ. En 1994, nous participons aux Crinières d'Or d'Avignon. La suite, c'est la reconnaissance de notre sérieux et de notre travail. Il faut dire qu'il y a beaucoup de concurrence et que pour se démarquer, il faut être inventif. Il n'y a pas de vraies écoles, ni formation de cascadeurs. Souvent on entre par la petite porte (palefrenier) et on passe les étapes. L'important, c'est la mentalité. Il faut rester soi-même malgré la pression et le challenge de chaque instant. Et puis, il faut savoir vivre avec les autres, respecter ses chevaux et bien entendu avoir la pêche ! sinon ça ne marche pas". |  |
